Une entreprise de services financiers de taille moyenne a été victime d'une violation de données qui a exposé des milliers de dossiers clients sensibles. Confiante dans sa couverture de cyberassurance, l'entreprise a déposé une demande d'indemnisation, s'attendant à une aide financière. Au lieu de cela, l'assureur a refusé la demande en raison des lacunes suivantes :
- Aucune évaluation récente des risques de cybersécurité n'avait été réalisée.
- Le test de pénétration le plus récent était obsolète, laissant des vulnérabilités critiques non corrigées.
- L'entreprise ne disposait pas d'un plan structuré de réponse aux incidents, ce qui retardait les efforts d'endiguement et d'atténuation.
En conséquence, l'organisation a supporté le coût total des frais de justice, des amendes réglementaires et de l'atteinte à sa réputation. Ce scénario est de plus en plus fréquent, car les assureurs examinent de près les pratiques des assurés en matière de cybersécurité.